Ok , mais RMS no.
Avec un seul diode, au bornes de C2 on à pas une tension inférieur?
Pour la réponse suffit un OUI ou un NON.
Je ne veux pas te contredire, juste comprendre.
Oui mais le RMS c'est avant le ponde diodes que ça se passe.
Après le pont de diodes le condensateur de filtrage se charge à la tension crête (moins la chute de tension dans les diodes : 1.5V).
Donc aux bornes du condensateur de filtrage, tu retrouves de toutes façons la tension RMS * √2.
Si tu utilises un redressement double alternance, le condensateur de filtrage aura moins le temps de se décharger entre deux alternances, donc c'est plus efficace :
Méfiez vous des opto isolateurs : leur bande passante est limitée.
Un opto isolateur c'est une émission de photon qui vient frapper une base de transistor.
Pour obtenir un bon CTR il faut une "grosse" base avec beaucoup de surface.
Mais qui dit surface dit capacité parasite et réduction de bande passante.
La bande passante des premiers opto isolateurs était limitée autour du MHz, soit utilisable pour des signaux max de 100 kHz.
Les opto isolateurs font toujours des progrés donc leur usage est de moins en moins limité mais méfiance avant de commander un lot à pas cher.
Je ne sais pas précisément comment sont alimentées les ampoules LED du commerce.
Elles peuvent être alimentées par un régulateur PT4207.
Sur mon schéma c'est le condensateur de 470µF qui absorbe la surintensité à l'allumage, comme dans toute alimentation à transformateur d'ailleurs.
D'où la présence d'une résistance série de 68Ω qui limite ce courant, et protège surtout le pont de diodes.
A quand, un tuto sur les convertisseurs burst et boost ?
De quoi veux-tu parler ?
De convertisseurs DC-DC ?
Si oui, il y a suffisamment de modules (LM2596 ou MP1584) dans le commerce, non ?
Par contre j'attends des LNK304 qui me permettront de réaliser une alimentation à découpage 230V / 5V ou 12V ou 24V.
hbachetti:
Je ne sais pas précisément comment sont alimentées les ampoules LED du commerce.
Elles peuvent être alimentées par un régulateur PT4207.
Des leds de faible puissance étaient alimentées de cette manière ... Je n'ai pas osé en casser des récentes. Les leds imitation filaments ont le CI dans le culot, pas le même genre d'alim, les condos ne rentreraient pas.
Sur mon schéma c'est le condensateur de 470µF qui absorbe la surintensité à l'allumage, comme dans toute alimentation à transformateur d'ailleurs.
D'où la présence d'une résistance série de 68Ω qui limite ce courant, et protège surtout le pont de diodes.
Avec des pointes à plus de 300 v, la zener doit y contribuer aussi.
De quoi veux-tu parler ?
De convertisseurs DC-DC ?
Si oui, il y a suffisamment de modules (LM2596 ou MP1584) dans le commerce, non ?
J'ai une led 5 W sans zener, la tension d'isolement du condensateur est de 250 V.
Il n'y a rien d'anormal à cela.
Pour alimenter une LED, une diode en inverse suffit, avec de préférence une résistance de limitation.
Ici il est conseillé le double de la tension de zener.
J'ai l'impression que tu mélanges tout.
L'auteur parle du condensateur électrochimique C2, pas du condensateur 250V :
Pour avoir de la marge, la tension nominale de C2 doit être le double de la tension zener (10V pour une zener 5.1V par exemple). Sa valeur dépend de l'ondulation acceptable.
D'ailleurs dire qu'il faut doubler la tension de service est faux. Il faut choisir une valeur supérieure d'au moins 20% à la tension de la zener, si l'on néglige la chute dans la diode D1 (on n'est pas au volt près).
Pourquoi a tu choisi le 304 et pas un 305 ou un 306?
Parce que j'ai besoin d'un courant faible (< 100mA).
Est ce que on peut avoir plus de courant si on soigne le refroidissement?
Les pins de sortie doivent être soudées sur un plan de cuivre important même pour obtenir le courant nominal.
En version DIP : pins 1, 2, 7 et 8.
En version CMS : pins 5, 6, 7 et 8.
Sur breadboard j'ai pu obtenir 60mA en ajoutant un petit dissipateur 10x10x10mm :
Le LNK304 aurait besoin d'un PCB avec plan de cuivre d'une surface importante pour pouvoir dissiper plus. Étant donné la résistance thermique de son boîtier (70°C/W), une vingtaine de cm² de cuivre seront nécessaires pour dissiper 1W.
On peut bien entendu doubler cette surface en adoptant un PCB double face avec deux plans de cuivre.: