La vérité est que
50% des entrées/sorties sont 5V tolérantes ce qu'aucun micro Atmel ne fait, ni d'autre fondeurs. C'est peut-être un brevet ST.
On trouve au moins UN accès série, un accès I2C, un accès SPI 5V tolérant ce qui est loin d'être négligeable.
Si on compare avec le modèle de micro équivalent utilisé dans la DUE (pour combien de temps encore avant que la carte soit abandonnée?) par arduino, la DUE a un max d' E/S limitées à seulement 5 mA.
De toute façon je ne changerais jamais d'avis : il faut séparer l'intelligence (le micro) de l'interface de puissance.
Le cas des avr est très particulier, et même avec ses "grosses" capacités à fournir du courant il suffit de regarder la datasheet pour voir qu'avec un courant de 20 mA on perd (de mémoire, à vérifier) 0,5 à 0,6 V dans les Rdson des transistors de sortie.
Il en est bien évidement de même avec tous les micro-controleur y compris avec les STM32 il suffit de lire leur datasheet qui indique la perte de tension pour un courant de 20 mA.
Ne pas oublier que tous les ARM sont gravés plus fin qu'un avr donc ils ont de plus petits transistors de sortie, même si on "pourrait" me rétorquer que les transistors de sortie sont "grossis" par rapport aux transistors internes.
Ce qui confirme ma conception de la séparation intelligence/puissance.
Un avantage des STM32 qui a été oublié , dans stmduino et je pense aussi mbed, c'est que l'on peut choisir 3 bandes passantes pour les transistors de sortie.
Casser la bande passante quand on n'en a pas besoin simplifie et sécurise énormément les câblages avec des micros à 72 MHz d'horloge, et même beaucoup plus avec certains STM32.
Je pense, cela reste à vérifier, que stmduino et mbed sélectionnent la bande passante la plus faible par mesure conservatrice.
Ce qui limite "bêtement" l'utilisation de ces micros.