J'aimerai me lancer dans la programmation Arduino dans le but de compter le temps de fonctionnement d'une machine et ainsi déclencher une révision de celle-ci passer un certain temps signaler par des leds.
Pour être plus proche de la réalité, j'aimerai aussi compter le nombre d'impulsion d'une Electro-vanne fonctionnant en 230 Volts.
D'où ma question : existe t-il un module capable de prendre en compte une entrée TOR 230 Volts pour la convertir en une tension admisible par une entrée Arduino Uno ?
J'aimerai me lancer dans la programmation Arduino dans le but de compter le temps de fonctionnement d'une machine et ainsi déclencher une révision de celle-ci passer un certain temps signaler par des leds.
Pour être plus proche de la réalité, j'aimerai aussi compter le nombre d'impulsion d'une Electro-vanne fonctionnant en 230 Volts.
D'où ma question : existe t-il un module capable de prendre en compte une entrée TOR 230 Volts pour la convertir en une tension admisible par une entrée Arduino Uno ?
A bientôt.
Salut ,
un relais tout simplement peut faire l' affaire
un relais double contact NO par exemple , un qui sert a faire un contact sec au niveau de l' entrée TOR , l ' autre pour alimenter l ' EV !
chaque fois que tu colles la bobine de ton relais , tu alimentes ton EV et fais un contact a ton entrée TOR de ton arduino .
Il ne reste plus qu ' a implementer un code compteur sur l ' entrée TOR et le tour est joué !
Ou un optocoupleur, mais il faut rajouter quelques composants pour commander la led depuis le 220V (au moins une diode, deux résistances et un condensateur.
J'aimerai me lancer dans la programmation Arduino dans le but de compter le temps de fonctionnement d'une machine et ainsi déclencher une révision de celle-ci passer un certain temps signaler par des leds.
Pour être plus proche de la réalité, j'aimerai aussi compter le nombre d'impulsion d'une Electro-vanne fonctionnant en 230 Volts.
D'où ma question : existe t-il un module capable de prendre en compte une entrée TOR 230 Volts pour la convertir en une tension admisible par une entrée Arduino Uno ?
A bientôt.
Bonjour
Perso dans ce cas de cas , j'utilise de la "luciole neon" +LDR sous tubage ou gaine thermo, et ça fait la "rue Michel" dans la majorité des cas
J'avais bien penser à l'optocoupleur, mais je ne voyais pas comment le brancher.
Je vais me pencher sur la solution qui est le plus a ma porter, c est a dire le relayage.
Il y a effectivement plus de composants pour le photocoupleur, mais cela fait moins de bruit qu'un relais.
Pour alimenter la led, on peut s'inspirer de ce site et partir sur ce schéma:
rajouter une résistance de 1 ou 10Mohms en parallèle sur le condensateur (décharge, sinon après avoir débranché on peut se prendre l'énergie stockée dans le condensateur
Pour des infos, on peut chercher "alimentations sans transfo" ou "alimentation capacitive"; c'est ce type d'alimentation qui équipe toutes mes spots à led
Côté arduino, photo transistor seul entre l'entrée et la masse, et INPUT_PULLUP.
Le montage proposé par vileroi va fonctionner, mais il a quelques inconvénients :
la réactance du condensateur de 390nF à 50hz est de 8,2 kOhms. Avec les 300 Ohms en série cela fait un total de 8,5 kOhms, soit un courant de 27mA pour 230V. C'est trop pour un optocoupleur, il faut diminuer la valeur du condensateur de 390nF à 220nF maxi,
la résistance de 300 est là pour limiter le courant initial dans l'optocoupleur si le circuit est mis sous tension sur la crête du 230V, soit 325V. Avec 300 Ohms, le courant crête est de plus d'un A. L'opto ne va pas apprécier, même si c'est bref.Il faut augmenter la valeur de la résistance,
enfin, peut être le plus embêtant, l'optocoupleur va clignoter à 50Hz. Cela ne se voit pas à l'oeil, mais un Arduino c'est rapide et il va voir "marche /arrêt /marche /arrêt" 50 fois par seconde !
J'utilise avec succès le montage ci-joint sur plus d'une vingtaine d'exemplaires. C'est un redressement double alternance, donc il ne clignote pas (vérifié). Il faut compléter le schéma :
le condensateur de 220nF (on peut descendre à 100nF) doit être de très bonne qualité, isolé à 400V minimum.
les diodes sont des 1N4007,
pour C2 : 4,7µF 35V, non critique,
le courant permanent dans l'opto est de 13mA (mesurés),
précautions d'usage avec un montage dont une partie est reliée directement au secteur !
J'aime bien la simplicité de la luciole + LDR, mais j'ai constaté que les lucioles noircissaient avec le temps...
Ce circuit détecte la perte du secteur dans un ampli afin de couper les HP avant que l'alimentation tombe.
47nF suffisent amplement.
L'étage à 2N2222 n'est pas absolument nécessaire.
Attention : sur le secteur un condensateur classe X2 est nécessaire.
Je ne vois pas l'intérêt d'inverser la sortie avec un transistor. On peut mettre le phototransistor et son condensateur entre l'entrée et la masse avec une pullup interne ou entre l'entrée et le 5V avec une pulldown externe.
hbachetti:
Avec un ARDUINO on fait ce que l'on veut.
Certes c'est parfaitement vrai mais dans une réalisation il n'y a peut-être pas que ce coté à prendre en compte.
Il serait ballot qu'un moteur de 5 kW parte en furie parce qu'une alimentation des circuits de commande vient à manquer et qu'un signal de commande à 0V correspond à une vitesse max.
Dire que l’arrêt correspond à un 5V parce qu'on peut inverser la logique dans le programme et que cela évite de placer un transistor se discute en fonction du sujet.
Je trouve que ce coté sécurité est un point qui est souvent oublié.
En particulier tous les signaux d'alarme doivent systématiquement être conçus pour que 0V = Alarme.
PS : je suis vraiment nul mais c'est quoi une entrée TOR ?
Je voulais simplement dire que lorsqu'il s'agit d'un projet sans microcontrôleur on inverse un signal avec les moyens du bord. Là il s'agit simplement de commuter un relais pour alimenter un ampli.
Mais sinon tu as parfaitement raison, les modes de marche et d'arrêt sont à prendre en compte. On parle de ces aspects en cours d'automatisme d'ailleurs.
68tjs:
Certes c'est parfaitement vrai mais dans une réalisation il n'y a peut-être pas que ce coté à prendre en compte.
Il serait ballot qu'un moteur de 5 kW parte en furie parce qu'une alimentation des circuits de commande vient à manquer et qu'un signal de commande à 0V correspond à une vitesse max.
Dire que l’arrêt correspond à un 5V parce qu'on peut inverser la logique dans le programme et que cela évite de placer un transistor se discute en fonction du sujet.
Je trouve que ce coté sécurité est un point qui est souvent oublié.
En particulier tous les signaux d'alarme doivent systématiquement être conçus pour que 0V = Alarme.
Raté!! chez nous c'est la la sécurité Positive:
je m'explique
le système de supervision envoie via une résistance un -48v (norme dans les telecom)
à un contact dont l'une des broches est à la masse
on mesure en permanence la tension aux bornes de ce contact:
si la tension aux bornes du contact = 0v, pas d'alarme
Si tension > alarme!
ce qui fait que si un câble est coupé, plus de masse > alarme! en branchement en inverse, si le câble était coupé on ne le saurais jamais.
PS : je suis vraiment nul mais c'est quoi une entrée TOR ?
une entrée Tout Ou Rien,
0 ou 1!
0v ou +5v
0v ou -48v (télécoms)
ou 0V +12v
ou -5v +5v.....
Tout à fait d'accord, les salles de batteries sont historiquement avec le plus à la masse, ça doit bien daté du télégraphe Morse.
Ce que tu exprimes est un besoin très particulier.
Faire un test de continuité sans disposer d'un signal actif est un peu dificile.
Si tu parles Télécom j'ai fait toute ma carrière chez un équipementier Français que son imbécile de PDG a trouvé en bonne santé mais a découpé en tranche pour faire du fric. Il a coulé ce qui restait et l'a vendu à Nokia.
Le centre de décision était le CNET, service de recherche du Ministère des Postes et Télécommunication.
Je peux te dire que, sauf cas particulier comme celui que tu cites bien sûr,, le CNET n'aurait jamais validé un matériel avec une alarme active à +V.
Si l'alimentation d'une baie ou une carte tombait en panne il n'y aurait eu aucun moyen de le savoir et le central pouvait se désynchroniser du réseau mondial et là ça n'aurait pas rigolé.
PS je n'ai toujours pas ma réponse : c'est quoi une entrée TOR ?
68tjs:
Tout à fait d'accord, les salles de batteries sont historiquement avec le plus à la masse, ça doit bien daté du télégraphe Morse.
Leplus a la masse a une raison physique /chimique.
En cas de blessure d'un cable en milieu humide, le conducteur restera vif et brillant, l'oxydation ( s'effectue sur le pole positif ) ne cachera pas la blessure de l'isolant
Ce que tu exprimes est un besoin très particulier.
Faire un test de continuité sans disposer d'un signal actif est un peu dificile.
Si tu parles Télécom j'ai fait toute ma carrière chez un équipementier Français que son imbécile de PDG a trouvé en bonne santé mais a découpé en tranche pour faire du fric. Il a coulé ce qui restait et l'a vendu à Nokia.
Alcatel.....
Le centre de décision était le CNET, service de recherche du Ministère des Postes et Télécommunication.
Je peux te dire que, sauf cas particulier comme celui que tu cites bien sûr,, le CNET n'aurait jamais validé un matériel avec une alarme active à +V.
Sauf que ce matériel est validé depuis toujour parle cnet.... Absolument tous nos équipements sont supervisés comme cela,
Le points oú je me suis mal exprimé cest que cette tension fournie via la résistance est fournie par l'équipement de supervision
Donc de toute maniere si l'équipement de supervision ne peu plus fournir cette tension elle ne peu plus rien superviser... ce qui sera détecté par le système de supervision régional au bout d'un certain temps
Sauf que ce matériel est validé depuis toujour parle cnet.
Le Cnet a été cassé à la privatisation de France Télécom. Ce qui reste "Orange développement" fait bien pâle figure à coté.
Certains chercheurs du CNET sont partis directement aux CNRS, d'autres "ont tenté le privé".
Il pouvait tenter l'expérience pendant 1 an.
J'en ai connu un qui avait envie de terminer son projet en cours et qui a tenté le privé. Facilement reconnaissable : dans une réunion 80% des chercheurs de la CGE en costard cravate. Lui mal rasé et pull qui lui tombait sur les genoux.
90% des transparents étaient des œuvres d'art, les siens juste faits au traitement de texte et rectifiés en dernière minutes à la main (c'était encore des rétro projecteurs)..
Inutile de dire que les transparents des "chercheurs du privé" étaient vides, completement nuls, les seuls intéressants étaient ceux "du fonctionnaire".
Inutile de dire qu'au bout d'un an il a fui ces "charlots chercheurs bonimenteurs" pour retrouver des vrais chercheurs qui cherchent, il a rejoint le CNRS.
La grosse finance était heureuse mais quel gâchis de talents !