Ça n’a rien à voir avec arduino en fait, c’est ce que fait GCC
➜ https://gcc.gnu.org/onlinedocs/gcc-9.1.0/gcc/Optimize-Options.html
Merci je vais le lire.
C’est un peu pénible à lire 
mais c’est bien de savoir que ça existe
L’IDE est configuré pour -O3 Et la taille (sans doute ce qu’il y a dans -Os) on peut voir les paramètres utilisés dans la console lors de la compilation.
Le "pas de tir" est fixe et tous les tireurs sont sur la même ligne, les cibles sont mobiles, ce qui permet de tirer à des distances différentes en toute sécurité.
Il manque deux informations : précision du positionnement de la cible et degrès de perturbation électromagnétique de la salle (utile pour choisir un type de capteur)
Idée pour des "positionneurs" :
Capteur : Coté pas de tir le câble passe dans un guide équipé d'un capteur à effet Hall.
Le câble est équipé d'un aimant.
Le câble circule entre deux poulies fixes dont l'une est équipée d'un tendeur pour que le câble reste toujours bien tendu.
Il "suffirait" de positionner différents aimants pour définir différentes distances.
Eventuellement des groupes de deux aimants :
- le moteur part à grnde vitesse
- à la détection du premier aimant la vitesse est réduite pour assurer la précision de l'arrêt au passage du secont aimant.
La sécurité veut qu'il y ai une bute de tir derrière la cible donc il faudrait préciser les conditions de fonctionnement du club de tir et la réglementation actuelle.
C'était le cas, il y a 40 ans lorsque je faisais du tir, maintenant les choses ont certainement évoluer
Je n'ai jamais fait de tir au pistolet, mais à l'arc.
Tous les tireurs sont sur la même ligne (ligne de tir) située au milieu d'une bande de deux mètres de large appelée "pas de tir", les cibles, en paille compressée ou en mousse, qui reçoivent les cartons appelés "blasons", sont à des distances différentes selon les catégories d'age ou de mode de tir.
Je te suis quand tu dis qu'il faudrait plus de détail.
Pour faire des propositions, il faut bien connaitre le matériel.
Je connais la cible en paille qui reçoit un blason.
Je ne connais pas le nom donné au "bout de carton" au tir à balle ni le nom du support de ce "carton". Je ne pense pas que le "carton" est simplement fixé au câble avec des pinces à linge.
Oui un peu plus d'explications aiderait pour faire des propositions.
C'est la première des sécurités, il n'est pas conseillé d'avoir un tireur dans le dos.
Les risques pour le 10 m sont moindre car propulsion à l'air comprimé mais pas sans danger.
Pour les autres distances, probablement du 22LR voir du 38S et là c'est une autre histoire.
Peut être aurons-nous de plus ample explication
Alors merci à tous, mon projet a l'air de faire cogiter du monde, c'est top !
Je vais tenter de répondre au max de questions & apporter des précisions
Les tireurs sont isolé, dans un couloir de 2m de large
Ils disposent de leur propre cible indépendante, et de son système de rappel
Les calibres utilisé ne sont pas limité aux petits calibres, mais aussi au 9mm ou encore au 223. (5.56 OTAN)
Chaque stand de tir dispose d'un système de rétention des ogives, derrière la cible, souvent un tas de sable, ou des fortifications en bois de plusieurs dizaine de centimètre d'épaisseur
Ce réceptacle d'ogive est souvent environs 2m derrière la cible
Chaque système de cible part du stand ou se trouve le tireur, et va en direction linéaire, sans pause au bout du tunnel pour se positionner à la bonne distance, qui est fixe.
Le système de récupération ne tiendra compte que d'une seule distance
Le positionnement en bout de tunnel de tir, donc là ou la cible s'arrête dispose d'une marge d'erreur de 5% sur la distance totale ( Sur 25m, tu dois stopper la cible a 1.75m prés par exemple).
Je tir sur différents stands, et les arrêts ne se font jamais en deux temps par exemple
- Départ de la cible a grand vitesse
- Première capteur magnétique, on baisse en vitesse
- Dernière capteur magnétique, on stop la cible précisément
Mais j'aime l'idée 
Le système qui entraîne la cible est en général composé :
- Un moteur triphasé, pour faire les deux sens de rotation
- Un galet tendeur
- Une elingue qui est entraîné par la poulie du moteur dans un sens ou l'autre
- Un porte cible, qui est positionner sur l'élingue
- L'élingue est composé de deux filins, un a droite et un a gauche - Entrainé par le même moteur, le porte cible étant fixé de part & d'autre sur ces deux élingues.
- Poid du porte cible : Environs 1.2kg
La cible cartonné faisant office de cible ( Différent formats ) est systèmatiquent agrafé sur le porte cible, qui est en contre plaqué fin
J'espère ne rien avoir oublié 
hello
la poulie moteur peut elle être équipée d'un aimant?
un capteur à effet hall permettra de compter les tours et donc la longueur d'élingue déroulée
le prg du micro permet de sélectionner la distance ( donc le nombre d'impulsions que le capteur à effet hall devra compter avant de réduire la vitesse du moteur puis de l’arrêter.
Oui, je peux équiper la poulie d'un aimant, sans aucun soucis.
Le diamètre de cette poulie est assez important, y'a de la place pour l'installer.
Très bonne idée, mais bordel niveau code ca va me faire surchauffer les méninges on dirait
1 ou plusieurs aimants
un code de tests pour voir comment lire le capteur
#define capteur 2 // Le port D2 est associé à l'interruption 0
volatile long pulse = 0; //
long memo_pulse = 0;
void setup() {
Serial.begin(115200);
//******************************************************************************************
//on suppose que le capteur envoit un pulse positif
pinMode(capteur, INPUT);
attachInterrupt(0, impulsion, RISING); // Détecte des fronts montants
//sinon, il faudra:
//pinMode(capteur, INPUT_PULLUP);
//attachInterrupt(0, impulsion, FALLING); // Détecte des fronts descendants
//******************************************************************************************
}
void loop()
{
if (pulse != memo_pulse)
{
Serial.println(pulse);
memo_pulse=pulse;
}
}
void impulsion()
{
pulse++;
}
Il est intéressant et tout à fait envisageable d'utiliser un capteur à effet
Hall avec un aimant sur la poulie, mais peut-être que plusieurs aimants sont
nécessaires pour des raisons de précision de comptage pour définir la distance.
@julien_amf doit calculer en tenant compte du diamètre de placement de
l'aimant les impulsions nécessaires pour chaque distance et optimiser
le nombre d'aimants à placer pour s'arrêter avec la précision appropriée.
Le code proposé par @dfgh basé sur les interruptions est en principe très bien
à titre d'exemple mais il faudrait rajouter quelque chose pour éviter les
rebonds et éviter faux comptes.
En tout cas, on parle déjà de trois positions de la cible, et cela nous amène
ou pour utiliser trois boutons unidirectionnels ou un bouton unidirectionnel
plus un sélecteur à trois positions et un seul bouton arrière.
Et je vous demande @julien_amf Est-ce que tant de précision est nécessaire ?
Serait-il suffisant de faire simplement des marques sur le champ de tir aux
distances correspondantes et de laisser le tireur relâcher le bouton où il veut ?
Bonjour Julien
Pourquoi pas une vis sans fin, entraînée par une des poulie, dont la longueur représenterai le parcours de la cible en réduction. Cette vis ferait déplacer un mobile muni d'un aimant. On disposerai, ainsi, le long du parcours, des capteurs qui pourraient être sous cette forme.
La vis pourrait être une simple tige filetée avec un écrou comme mobile.
Cordialement
jpbbricole
Hello,
alors non, autant de précision n'est pas demandé pour les loisirs, on pourrait tout simplement imaginer un système de fanion, qui se relève une fois le chariot atteint à une certain distance pour signaler le besoin de relâcher le bouton.
@jpbbricole J'ai pensé au système de vis sans fin, tout comme un rail qui est propulsé dans un sens ou l'autre via de l'air comprimé. Mon seul hic avec la vis ce serait sa longueur, par exemple 100m.
Bonjour Julien
Non, 1 à 2 mètres suffiraient, il faut démultiplier son entrainement.
Combien de tours fait la poulie d'entrainement du câble pour tout le parcours?
Cordialement
jpbbricole
Ce principe de cible mobile existe depuis longtemps.
Avant de partir, une fois de plus, dans tous les sens d'une façon désordonnée, la bonne approche serait d'inventorier ce qui existe.
Réinventer la roue est toujours une perte de temps. S'inspirer des solutions qui ont fait leurs preuves est préférable mais encore faut-il les connaître et beaucoup ici ne sont pas des tireurs.
Le but est, probablement, de faire un équivalent à moindre coût.
Il paraît plus simple d’instrumenter la poulie ou le système d’entraînement au niveau du tireur plutôt que d’avoir des câbles de données sur les élingues pour alimenter et lire la position de la cible - ça évite aussi qu’une balle perdue endommage le système. Vue la précision attendue et la circonférence probable de la poulie côté tireur, un seul aimant devrait suffire (ou une marque de peinture blanche / Tipp-ex pour un détecteur approprié genre suiveur de ligne si on ne veut pas coller un aimant).
Bonjour
Je me suis mal exprimé, l'entraînement de la cible se fait toujours via poulies et câble. La vis sans fin est un ajout sur la poulie d'entrainement ou sur l'axe du moteur.
Est-il nécessaire d'être tireur pour comprendre la problématique de l'entraînement d'une cible sur câble?
La question reste posée?
Oui, tout à fait, c'est pourquoi je propose une alternative au comptage des tours sur la poulie d'entraînement, en y joignant une tige filetée qui entraîne un mobile avec un aimant, montage qui représente la situation du système de façon "réduite".
On peut ainsi, positionner les différents capteurs nécessaires aux différentes phases du fonctionnement le long de la vis.
La maintenance des dits réglages peut se faire par des non initiés, par simple déplacement des capteurs, pas de programme à modifier.
Cordialement
jpbbricole
Citation complète :
Explication : pour connaitre les solutions qui existent depuis des années, je pense qu'un tireur est la personne la plus qualifiée. Tel était le sens de ma phrase.
Sans être tireur à armes à feux, je ne sais pas si les distances sont changées en cours d'une séance de tir. J'aurai tendance à dire qu'elles sont fixées le temps d'une séance et dans ce cas ce qui me semble le plus simple serait une butée, réglable selon la distance, sur laquelle le porte cible vient s'immobiliser.
Et donc la solution magnétique et effet hall que j'avais évoqué est non appropriée d'autant que les aimants formeront une surépaisseur gênant le déplacement harmonieux du câble, donc je retire ma proposition hâtive.
Mais comme je ne sais pas comment se déroule une séance de tir, j'attends plus de renseignements de l'auteur du message.
Cela ne m'a pas empêché de faire quelques recherches.
L'objet en question se nomme "rameneur" dans le jargon des tireurs.
On trouve des images et un site : Fabriquer rameneur électrique qui peut donner des renseignements.
On peut consulter aussi : Description d’un stand de tir à armes à feu.
Dans tout ce que j'ai pu voir il me semble que les distances ne sont pas réglables, mais je n'ai pas tout vu non plus.
L'information de savoir si les rameneurs (hors entrainement olympique ou entrainement police) existent en distance réglable serait assez constructive.
Au post #28 @julien_amf a dit
Donc, pour moi, il est clair que la distance est fixe pour une configuration donnée et ne changera pas.