Alors déjà merci à tous pour vos réponses. Vous nous avez proposez des idées très intéressantes , et nous sommes en train de les étudier en évaluant leurs avantages et inconvénients.
Artouste :
je ne suis pas sur que le meilleur capteur pour discriminer les pieces soit un capteur chocs ou vibrations , je verrais plus un/des capteurs opto etagés.
pour le tri et les distributeurs , des solenoïdes feront l'affaire (c'est ce qui est utilisé dans les distributeurs)
Oui, nous voulons utilisé un capteurs de présence type photoled (infrarouge) puisque les capteurs de vibrations contenaient trop de défauts (un coup de poing sur la table et tout part en vrille, matériel onéreux ou imprécis). Pour les solenoïdes, pourriez-vous développer s'il vous plait ? Nous ne savons pas vraiment ce que c'est. On pensait mettre une sorte de poussoirs type verrin pour éjecter les pièces.
geryko
Je ne le sens pas trop bien le capteur opto pour ce genre de mesures. (pas assez précis ?)
De même, je ne vois pas contrôler la taille des pièces à l'aide d'un capteur de vibrations ?
Des vibrations pour faire avancer les pièces oui.
Contrôler la différence de diamètre des pièces, d'épaisseur, (de poids ? de métal ?)
Pour l'instant, je ne le vois que mécaniquement mais ... ??
Les pièces roulent dans une gorge et sont soumises à un "aiguillage" calibré.
Comment fonctionnent les trieuses de pièces ? J'en ai déjà vues mais je ne m'en souviens plus.
Oui nous craignons aussi ce problème mais normalement ça devrait être assez précis avec des tests.. Les capteurs à vibrations étaient juste là pour détecter la présence de la pièce, et comme ils sont situés à chaque hauteurs respectifs des pièces ça active les éjecteurs et du coup on sait quelle est la pièce éjectée (schéma).
On pense partir sur un triage uniquement mécanique, on aurait pu faire une reconnaissance par images mais cela prend beaucoup de temps et d'argent (il y a énormément de types) et ça ne prend pas en compte les nouvelles pièces. La reconnaissance d'alliage n'était pas envisageable, nous n'avons pas les connaissances pour.
68tjs :
Pour fonctionner le rayon optique doit être bien colimaté ou la surface du détecteur très petite .
Avec du matériel courant tu n'auras droit qu'a des patates.
Peut -être une solution avec des détecteurs placés derrière de tout petit trous, les pièces roulant dans une glissière inclinée afin de les maintenir bien perpendiculaires aux rayons.
Vous pouvez l'expérimenter facilement sans attendre, point besoin de micro-contrôleur : on trouve des cornières en U ou mieux vous pouvez assembler deux cornières d'angle pour former un U de la largeur des pièces. Des petits trous (forets de 1 mm ou 2 mm) à différentes hauteurs dans une des deux face verticale du U et des photodiodes de réception derrière bien calfeutrées pour éviter le rayonnement ambiant.
Travail en infra rouge quasi obligatoire : pour minimiser les effets parasites du rayonnement ambiant et beaucoup plus grand choix de composants.
Merci pour votre astuce, cela nous évitera sans doute des problèmes. Pour les détecteurs placés derrière de tout petits trous, ne risquent-ils pas de détecter une mauvaise pièce (1€ au lieu de 2) ? Je ne comprend pas très bien.
Nous avions cherché des capteurs infra rouges pour détecter et compter le passage des pièces dans leur tube respectif mais cela n'a pas été concluant. Existe t-il des capteurs infra rouge compatible arduino plus large pour assurer le passage des pièces ? (1cm uniquement trouvé actuellement)
Christian R. :
Les trieuses de pièces utilisent aussi le poids, et pas seulement le diamètre (sinon j'ai une caisse à outil pleine de rondelles en acier smiley-mr-green).
Ca peut se faire avec une sorte de rampe de descente, les pièces trop légères n'ont pas assez d'inertie pour remonter.
Les propriétés magnétiques des pièces peuvent aussi être détectées.
Pour tout ce qui est des autres moyens de trie, j'ai (essayé) d'y répondre en haut donc je ne reviens pas dessus, mais merci.
L'idée de l'inertie est très intéressante et nous allons l'explorer pour voir ce que ça va donner (même si je pense que cela semble compliqué à mettre en place)
Re geryko :
Peut-être des capteurs d'effort (Jauges de contraintes) pour mesurer le diamètre des pièces ?
Mesures analogiques un peu plus difficiles à mettre en oeuvre.
Pour les jauges de déformations, est-ce assez précis ? On pense que oui, mais le plus gros problème est la vitesse de traitement, est-elle assez rapide ?
Ive123 :
Mesurer la surface des pièces:
les pièces roulent dans une rainure, d'un côté on éclaire avec une diode led blanche (par exemple) au travers d'une surface dépolie pour avoir une surface lumineuse uniforme (un simple papier calque, peut-être). De l'autre côté une cellule qui mesure la lumière. Au fur et à mesure que la pièce passe, la lumière diminue jusqu'à un minimum dépendant de la grandeur de la pièce puis ré-augmente. En mesurant le minimum et suivant sa valeur on connaît la pièce.
Oui c'est vraiment l'idée de base, on fait une pente mais pas perpendiculaire , un peu penché. pour que les pièces se plaquent contre la paroi.
B@tto :
Regarder du côté des capteur CCD comme sur les scanners : on croit que c'est compliqué à piloter mais c'est facile smiley-wink
Il suffira d'éclairer d'un côté et de mettre le capteur perpendiculaire à la trajectoire de la pièce pour pouvoir la mesurer
J'ai pas trop compris le rôle du CCD, ça capte les photons puis les transforme en signaux électriques. Pourriez-vous nous détailler votre idée ?
Pour les nouveautés : pour les éjecteurs nous avons pris des électro-aimants poussant 0.18N à 2Newton